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LES PARTENAIRES DES FRANCAS 93



Le Conseil Général de Seine-Saint-Denis




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Mardi (28/09/10)
Francas Infos Liaison : le numéro de septembre 2010 est en ligne
Pour télécharger le FIL de septembre 2010, cliquez sur le titre


Ecrit par Francas93, a 14:02 dans la rubrique "Forum".
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Lundi (20/09/10)
Les Francas 93 ont déménagé !
Ca y est : les Francas de Seine-Saint-Denis ont déménagé ! Nous sommes désormais installés au 146 avenue Jean Jaurès à Bobigny (Tramway Libération), derrière la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports. N'hésitez pas à venir nous rendre visite !





Les lignes téléphoniques et les accès internet ne sont pas encore totalement installés. Vous pouvez pour le moment nous joindre uniquement au 01.41.60.13.00.

A très bientôt !
Ecrit par Francas93, a 16:36 dans la rubrique "Forum".
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Lundi (06/09/10)
Fermeture exceptionnelle


L'Association départementale sera fermée le mardi 7 septembre toute la journée.
Réouverture le mercredi 8 à 8h30.
Merci de votre compréhension.


Ecrit par Francas93, a 10:54 dans la rubrique "Forum".
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Vendredi (25/06/10)
Numéro spécial de "L'Ecole et les Parents" consacré aux rythmes scolaires
Ecrit par Francas93, a 17:43 dans la rubrique "Forum".
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Vendredi (11/06/10)
Assemblée Générale Nationale des Francas : la résolution générale
L'Assemblée Générale Nationale des Francas réunie à Saint Etienne les 23 et 24 mai 2010 a adopté à l'unanimité une résolution générale intitulée "Exigeons un accueil éducatif pour tous les enfants, tous les adolescents et tous les jeunes".

"Cette revendication a été de manière permanente mise en avant par les Francas en s’appuyant sur deux nécessités : d’une part, celle, pour la plupart des familles de disposer de services assurant la prise en charge d’une partie des temps de vie de l’enfant, d’autre part, celle d’offrir les meilleures conditions pour développer les compétences sociales et relationnelles des enfants au-delà du cadre familial et du temps scolaire.

Au cours de ces dernières années nous avons attiré l’attention sur les conséquences que l’évolution des temps sociaux et celles de la crise économique et financière avaient sur cette double nécessité, sociale et éducative.

2007 : « Le système économique et social actuel construit de l’exclusion et participe à l’accroissement des inégalités au sein de la société française et plus sensiblement sur la situation des enfants et des jeunes ».

2008 : « Plusieurs rapports récents montrent que la situation des enfants et des adolescents en France est loin d’être satisfaisante. Beaucoup plus vulnérables que les adultes, ils sont directement touchés par les inégalités socioéconomiques toujours croissantes qui entraînent précarité et pauvreté ».

2009 : « Pour les catégories les plus vulnérables l’accentuation des inégalités face au logement, à la santé, à l’école, aux loisirs, à la recherche d’un emploi, porte atteinte aux potentialités de développement individuel et social, notamment par l’éducation ».

Aujourd’hui, on constate que se multiplient des reculs sur la prise en charge de la nécessité d’une action sociale et éducative en direction des enfants, des adolescents et des jeunes, plus particulièrement pour ce qui relève des temps péri et extrascolaires qui participent à la continuité et à la globalité de l’éducation.

Ici, des réductions drastiques concernent les aides attribuées à la jeunesse, à la culture, à l’éducation. Ailleurs on observe que dans les aménagements des accueils hors école on privilégie à nouveau le seul temps de garde (même s’il est nécessaire de le prendre en compte) en ne considérant plus, par exemple, le temps de restauration collective comme un temps éducatif.

De plus de nouvelles menaces pèsent sur cette double nécessité qu’il s’agisse, par exemple, de la mise en place du projet de réforme des collectivités territoriales ou du plan de rigueur.

Ainsi pour favoriser l’accessibilité de tous aux propositions faites ou préserver la dimension éducative de ces accueils, il est indispensable de dénoncer le fait que les politiques enfance/jeunesse soient ramenées à une variable d’ajustement budgétaire et d’attirer l’attention sur les risques d’aggravation observés tout en revendiquant les moyens prenant en compte cette légitime ambition pour l’enfance, l’adolescence et la jeunesse.

L’Assemblée générale des Francas, réunie à Saint Étienne les 23 et 24 mai 2010 :

  • souhaite que la conférence sur les rythmes scolaires des enfants, programmée en juin 2010, soit l’occasion d’une réflexion globale sur la complémentarité à instaurer entre les différents temps de vie de l’enfant (familiaux, scolaires, péri et extrascolaires).

  • revendique le maintien pour les collectivités locales et territoriales de la clause de compétence générale indispensable à la consolidation et au développement des politiques sociales éducatives et culturelles.

  • demande à ces collectivités, aux organismes et institutions acteurs décisifs de ces temps éducatifs ainsi qu’à l’Etat, d’adapter leur engagement aux besoins grandissants des enfants et de leurs familles.

  • engage l’ensemble de ses militants et des organisateurs affiliés à s’appuyer sur les accueils organisés cet été pour alerter l’opinion publique (élus, parents …) et mettre l’accent sur cette double exigence : maintenir et développer l’accessibilité de tous aux activités de loisirs, garantir le caractère éducatif des propositions faites."

Ecrit par Francas93, a 10:00 dans la rubrique "Forum".
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Vendredi (04/06/10)
Communiqué de presse DEI-France : Déni de démocratie - Déni de l’enfance

DEI-France est scandalisée de la façon dont le gouvernement, aux ordres de l’Elysée, a fait revenir les sénateurs sur leur vote excluant le Défenseur des enfants du nouveau Défenseur des droits.

Déni de démocratie : alors même qu’il s’agit d’une institution constitutionnelle censée défendre les droits fondamentaux des personnes, le pouvoir exécutif met aux ordres le pouvoir législatif, sapant ainsi les fondements même de la démocratie.

Déni de l’enfance : les sénateurs de la majorité accèdent à la demande du gouvernement de revenir sur leur délibération et ceux qui avaient eu le courage de présenter un amendement motivé par le respect des droits des enfants acceptent  de renier leurs convictions au profit d’une commande politicienne d’unité de la majorité présidentielle.

Quelle image donne-t-on aux enfants ? A quoi sert de leur enseigner que nous vivons en démocratie ? Pense-t-on seulement encore à eux aujourd’hui en France, alors que la France ne respecte pas ses engagements au titre de la Convention relative aux droits de l’enfant que notre pays a ratifiée il y a bientôt 20 ans ?

DEI-France reste persuadée que le regroupement du Défenseur des enfants , de la CNDS et de la HALDE dans ce nouveau Défenseur des droits - dont l’indépendance est loin d’être assurée - est un coup dur porté aux enfants.

Pour autant DEI-France salue le travail de la commission des lois du Sénat qui a amélioré sur de nombreux points le texte de ce projet de loi organique par rapport au projet initial du gouvernement, même si elle regrette sa proposition d’y inclure aussi la HALDE.

DEI-France en appelle maintenant aux députés qui portent l’intérêt des enfants haut dans leurs convictions à suivre les recommandations adressées en juin 2009 par le comité des droits de l’enfant des Nations Unies à la France : maintenir l’institution autonome du Défenseur des enfants , en renforcer l’indépendance, les pouvoirs et les moyens. DEI -France leur demande également de refuser la disparition des autres institutions indépendantes que sont la CNDS et la HALDE, dont les attributions seraient diluées dans une institution aux attributions multiples.

Contact presse :  Jean-Pierre ROSENCZVEIG 06 70 14 86 31

S’associent à ce communiqué les associations membres de DEI -France , notamment les Francas de Seine Saint-Denis, le CICSTE Arcure et la FCPE.

Ecrit par Francas93, a 15:46 dans la rubrique "Forum".
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Vendredi (28/05/10)
Francas Infos Liaison : le numéro de mai 2010 est en ligne
Pour télécharger le FIL de mai 2010, cliquez sur le titre


Ecrit par Francas93, a 12:33 dans la rubrique "Forum".
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Mercredi (26/05/10)
Base élèves : Courrier collectif au ministre de l’Education Nationale
--> Signé à ce jour par 70 organisations

Monsieur le Ministre de l'Education Nationale,

Suite à la décision du 30 mars 2010 prise par Madame l’Inspectrice d’Académie de l’Isère, Claude Didier et Rémi Riallan se sont vu retirer leur fonction de directeur d’école au seul motif qu’ils refusaient de renseigner la base de données Base Elèves 1er Degré. Ils rejoignent ainsi la liste déjà conséquente des directeurs sanctionnés pour avoir défendu les droits de l'enfant, et dont le nombre atteint à présent la douzaine[1].

Pourtant, en date du 20 novembre 2009[2], la Ligue des Droits de l'Homme avait considéré, par l'intermédiaire de son président national, "que les instituteurs nommés ci-dessus obéissent à un impératif éthique en lien étroit avec la Convention internationale des droits de l’enfant, et ne devraient donc pas être sanctionnés".

Plus récemment, dans un rapport du 24 février 2010[3], Margaret Sekaggya, Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l’homme auprès des Nations Unies, mentionne qu’elle a adressé au gouvernement français, conjointement avec le Rapporteur spécial sur le droit à l’éducation et le Rapporteur spécial sur les droits de l’homme des migrants, une lettre d’allégations au sujet de la mise en œuvre du traitement de données Base Elèves 1er Degré. Dans cette lettre datée du 10 décembre, à laquelle la France n'avait toujours pas répondu lors de la remise dudit rapport, "des craintes ont été exprimées quant au fait que les mesures disciplinaires prises à l’encontre" des directeurs d’école refusant de renseigner Base élèves "soient liées à leurs activités non violentes de promotion et de protection des droits de l’homme, notamment du droit au respect de la vie privée". Les six directeurs isérois[4] cités sont ainsi reconnus comme des défenseurs des droits des enfants[5] comme le sont et le seront tous les enseignants sanctionnés pour ce motif, et les décisions des Inspecteurs d'Académie sont reconnues comme allant à l'encontre de cette instance des Nations Unies.

En sanctionnant ces directeurs, les Inspecteurs d'Académie de l’Isère, du Vaucluse, de l’Ariège, des Hauts de Seine et de l’Hérault n’ont respecté ni les droits de l’homme, ni les droits de l’enfant, ni la résolution de l'ONU de 1999 qui stipule que "nul ne peut être châtié ou inquiété pour avoir refusé de porter atteinte aux droits de l’homme"[6], ni les avis du Comité des droits de l’enfant et du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.

Condamnant ces manœuvres d’intimidation censées ébranler la détermination des directeurs qui refusent encore d’entrer dans ce dispositif ou qui, forts des recommandations des Nations Unies, ont décidé de cesser de l’alimenter, nous souhaitons que, sous votre autorité, tous les Inspecteurs d'Académie puissent satisfaire aux injonctions faites à l’Etat français par les instances internationales de défense des droits de l’homme. En conséquence, nous vous demandons de lever toutes les sanctions prises à l'encontre des directeurs d'école qui refusent d'alimenter le fichier Base Elèves 1er Degré.

Sans attendre que la justice française statue sur les 1800 plaintes déposées auprès des Tribunaux de Grande Instance et sur les recours déposés au Conseil d'Etat, nous espérons que vous saurez entendre les revendications portées par les parents d'élèves et les citoyens, les directeurs d'écoles et les enseignants, les syndicats d'enseignants mais aussi d'avocats et de magistrats. Tous exigent que l’anonymat redevienne la norme en matière d’éducation, que chaque élève ait un dossier au niveau local, ni centralisé ni partageable, ni consultable à distance. En conséquence, nous vous demandons d'abandonner Base Elèves 1er Degré et de détruire les données collectées irrégulièrement dans la Base Nationale Identifiant Elèves (BNIE).

Le Comité des Droits de l’Enfant des Nations Unies : «  recommande en outre à l’État partie de ne saisir dans les bases de données que des renseignements personnels anonymes et de légiférer sur l’utilisation des données collectées en vue de prévenir une utilisation abusive des informations. »[7]

Plus que jamais, il nous paraît indispensable que l'Education Nationale montre l'exemple en respectant les conventions internationales qui régissent les droits de l'homme et de l'enfant, pour tout ce qui a trait au respect de la vie privée.

Premiers signataires

Collectif National de Résistance à Base Elèves (CNRBE), Réseau des enseignants du primaire en résistance, Collectif Anti Hiérarchie (CAH), Appel des Appels, Appel des 200 maîtres contre les évaluations nationales, Ecole en Danger, Fédération France Parents, Mouvement Antidélation, Association Française Janusz Korczak (AFJK), Centres de Recherche des Petites Structures et de la Communication (CREPSC), CIMADE, Défense des Enfants International France (DEI), Fédération Nationale pour l’Ecole Rurale (FNER), Groupe Français d’Education Nouvelle (GFEN), ICEM Pédagogie Freinet, MRAP, RESF, Organisation Femmes Egalité, Privacy France, Syndicat des Avocats de France (SAF), Syndicat de la magistrature, Union Syndicale Solidaires, CGT Educ’action, Fédération des Travailleurs de l’Education de la CNT, Fédération SUD Education, UDAS, Emancipation Tendance intersyndicale, Ecole Emancipée, Sections départementales du Snuipp (03, 08, 16, 17, 21, 25, 26, 31, 34, 38, 39, 43, 44, 47, 49, 50, 60, 64, 67, 72, 73, 81, 82, 85, 88, 90, 94), Sections départementales de la FCPE (64, 66, 94), Sections de la LDH (Châtenay-Malabry, Montpellier, Grenoble, Pau, Sartrouville, Toulon, Fédération des Bouches du Rhône), Collectif Sauvons l’Ecole Pour Tous – SEPT (Bruche, Strasbourg, Haut Rhin), Comité de Vigilance d’Aubervilliers contre l’expulsion des Familles et Elèves Sans Papiers, Francas 93.

Avec le soutien de André Ouzoulias et Hubert Montagner.

[1] A notre connaissance, ont été sanctionnés :

Jean Yves Le Gall (Isère) : retraits de journées de salaire et d'emploi de directeur le 29 mai 2009, muté d’office le 1er septembre 2009.

Fabienne Bernard (Hauts de Seine) : retrait de sa fonction de directrice et de son poste d’enseignante le 19 juin 2009.

Isabelle Huchard (Hérault) : blâme le 2 avril 2009, retrait d'emploi de directrice le 27 août 2009.

Bastien Cazals (Hérault) : blâme le 7 juillet 2009, retrait d'emploi de directeur le 27 août 2009.

François de Lillo (Ariège) : retrait de la fonction de directeur le 31 août 2009, muté d’office le 1er septembre 2009.

Christian Gerbelot-Legris (Isère) : perte de sa fonction de directeur par fusion d'école le 29 mai 2009 et refus de sa candidature pourtant prioritaire.

Claudia Chiaramonti (Vaucluse) : blâme le 16 décembre 2009.

Claude Didier (Isère) : retraits de 11 journées de salaire et de l'emploi de directeur le 30 mars 2010.

Rémi Riallan (Isère) : retraits de 11 journées de salaire et de l'emploi de directeur le 30 mars 2010.

Patricia Arthaud (Isère) : retraits de 9 à 11 jours de salaire en 2009.

Élisabeth Heurtier (Isère) : retraits de 9 à 11 jours de salaire en 2009.

Michel Duckit (Isère) : 9 jours de retraits de salaire en 2009.

Colin Sanchez (Vaucluse) : blâme le 2 avril 2010.

[2] Courrier du 20 novembre 2009 adressé à la Rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l’Homme : http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article3604

[3] Rapport présenté au Conseil des Droits de l’homme par la Représentante du Secrétaire Général des Nations Unies sur la situation des Défenseurs des droits de l’homme dans le monde (pages 129 et 130 du document, paragraphes 839 et suivants) : http://retraitbaseeleves.files.wordpress.com/2010/03/onu-a-hrc-13-22-add1_efs.pdf

[4] Historique de la situation des directeurs isérois : http://retraitbaseeleves.wordpress.com/cirbe/

[5] Communiqué du CNRBE du 12 mars : http://retraitbaseeleves.wordpress.com/2010/03/12/droits-enfants-directeurs-confortes-onu/

[6] Déclaration sur le droit et la responsabilité des individus, groupes et organes de la société de promouvoir et protéger les droits de l’homme et les libertés fondamentales universellement reconnus : http://www2.ohchr.org/english/issues/defenders/docs/declaration/declaration_fr.pdf

[7] Observations finales du Comité des droits de l’enfant du 11 juin 2009 (pages 6, 11 et 12 du document, paragraphes 20, 21, 50 et 51) : http://www2.ohchr.org/english/bodies/crc/docs/co/CRC.C.FRA.CO.4_fr.pdf

Articles du CNRBE concernant le respect des recommandations du Comité des droits de l'enfant : http://retraitbaseeleves.wordpress.com/juridique/

Ecrit par Francas93, a 15:00 dans la rubrique "Forum".
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Mercredi (28/04/10)
Francas Infos Liaison : le numéro d'avril 2010 est en ligne
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Ecrit par Francas93, a 12:30 dans la rubrique "Forum".
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Vendredi (26/03/10)
Francas Infos Liaison : le numéro de mars 2010
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Ecrit par Francas93, a 13:29 dans la rubrique "Forum".
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